L’eau forme son cours en épousant les accidents du terrain, une armée construit sa victoire en s’appuyant sur les mouvements de l’adversaire.
– Sun Tzu
Le monde tel que je le vois, tel que je le vis
L’eau forme son cours en épousant les accidents du terrain, une armée construit sa victoire en s’appuyant sur les mouvements de l’adversaire.
– Sun Tzu
Comment les gens te perçoivent-ils? Fort?
Il a été souvent dit que « la première impression est celle qui importe ». Je le confirme (vécu).
On te perçoit fort, physiquement, intellectuellement, financièrement,… Il semble que pour le collectif, amis proches, opinion publique, … ceci soit un don.
D’emblée toute perception de tes actes, paroles ou autres sera évalué sous ce prisme. Quel poids!
Si tu as été jugé fort, par ta volonté ou non, il ne sera plus jamais possible que tu sois considéré comme plus faible qu’un autre, plus humain, plus faillible… même par tes proches. Tout est jugé accessible, atteignable, facile!
Ton effort n’aura plus de coût. Tel est notre condition, nous les « forts ».
Je veux vivre inhumain, puissant et orgueilleux;
Puisque je fus créé à l’image de Dieu.
Guillaume Apollinaire.
« Un grand général construit sa victoire sur sa connaissance de l’ennemi et tient un compte précis de la nature du terrain et des distances. »
– Sun Tzu
De but en blanc! Ne jamais mélanger amitié, famille et entrepreunariat!
Un ami m’a dit, il y a plusieurs années, avoir retenue, au moins, une chose de son père:
Ne prête jamais d’argent à un ami. Tu perdras, soit l’amis, soit l’argent, ou au pire les deux.
Comme souvent, nous n’écoutons jamais les parents! Philippe Mukalamushi te dit: « écoutes tes parents! ».
En ce jour, entrepreneur de mon état, je pleures la perte d’un ami et la perte de l’argent.
Un entrepreneur devrait rechercher, en premier, la stabilité de son entreprise. Malheureusement, lorsque tu y mêles l’amitié, voire la famille… les priorités s’inversent.
Tu aurais pu supporter (oralement, financièrement et j’en passes, un ami… le jour de la rupture, pour non résultat… cela retombera toujours sur toi!
Peut-être aurais-tu sacrifié ton proche pour ton succès économique…
Mon message final…
Travaillez, prenez de la peine :
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.
Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’héritage
Que nous ont laissé nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouiller, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retournent le champ
Deçà, delà, partout ; si bien qu’au bout de l’an
Il en rapporta davantage.
D’argent, point de caché. Mais le père fut sage
De leur montrer avant sa mort
Que le travail est un trésor.
Jean de la Fontaine.
Rien à voir? Tu ne mérites pas d’être parmi mes amis!
« C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l’important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage. »
Je m’en vais raconter l’histoire, non pas immédiate, mais plutôt instantanée de la RDC.
Accrochez-vous !
Je suis un passionné des nouvelles technologies, Internet particulièrement. Et ce, depuis ma plus tendre enfance.
Néanmoins, de nos jours, je commence à voir cette technologie, plus particulièrement les réseaux sociaux, comme ces monstres présentés au cinéma il y a quelques décennies.
Des monstres, créés par l’homme, qui prennent le contrôle de la planète. La révolte des machines.
Particulièrement, dans le moment particulier que nous vivons dans notre pays, la République Démocratique du Congo.
Pays dans lequel la politique occupe tous les débats, toutes les conversations…
Et quelle politique! Tous les documents officiels, venant des plus hautes instances du pays, se retrouvent, quasi instantanément, partagé via les réseaux sociaux.
Quand dans les débats ou, de manière plus appropriée, les échanges volent au ras des pâquerettes!
Les réseaux sociaux tuent l’Internet!
C’est décidé, je retourne à mon réseau social à moi tout seul: le blog!
Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles.
Umberto Eco
Tiré de faits réels
Quand on parle de « fils de…. », en réalité on parle de deux catégories, très différentes, de personnes.
Si, en lisant ceci, tu considères une autre catégorie encore… il serait temps que tu sièges vers un autre site.
Les deux catégories sont, selon moi (et c’est mon blog): les « fils de… » vivants et les « fils de… » morts.
Désolé d’être aussi direct, encore plus désolé pour ceux qui ont perdus leurs proches. Mais, il y a un problème et l abcès doit être crevé à un moment ou à un autre.
Après une demi-heure, dans les boîtes de nuit des grandes villes congolaises, vous aurez entendu le nom de x % de la classe politique, ou économique congolaise. Sont-ils présents? Probablement pas!
Ce qui est plus probable, leurs progénitures dans les environs.
Des grands prêtres! Boss! Le Bill Gâtes congolais!
Quelques heures/jours plus tard, vous entendrez le nom d’autres, souvent accompagnés de sarcasmes sur leur décès.
Et oui! L’homme, ou la femme, plus ou moins jeune, aurait perdu la vie, c’est la première fois que son nom te parviens. Tu cherches même: « ces parents, c’est qui en fait? »
Saches que, tout ceux qui se réjouissent, et toi, qui les accompagnes, c’est vous les vrais sorciers!
Un autre jour, peut-être, j’en dirais plus sur cette affaire.
« Obligé d’organiser sa défense, l’ennemi aura toujours l’infériorité numérique, car je le contrains à se prémunir contre une attaque. »
– Sun Tzu
D’emblée, je voudrais apporter une précision sur l’objectif de cet article. Lorsque je parle de sécurisation, je ne fait référence qu’au processus de vote, de compilation et de publication des résultats.
Je n’aborderais donc pas les questions « sécuritaires » dans le sens de la protection physique des électeurs ni du personnel et matériel impliqué dans le processus électoral.
Pour éviter la confusion, dans la suite de cet article, je parlerais donc de la « sécurisation du résultat des élections ».
Au centre du débat sur le processus électoral de 2018 en RDC, en réalité celui de 2016 glissant, se trouve la question de l’usage de la machine à voter.
Le débat repose sur la suspicion d’un certain nombre d’acteurs, non négligeables ni en qualités et ni en nombre, que cette machine servira d’instrument pour une tricherie à grand échelle. Laquelle tricherie serait, évidemment, organisée par le pouvoir en place, avec la complicité de la CENI.
Cet article se veut une approche scientifique et non partisane sur la question.
Lorsqu’on parle de sécuriser des résultats d’élections (quel long titre, mais prudence oblige), la norme recommande les trois critères suivant:
La machine à voter a été introduite en RDC dans un contexte du cycle électoral de 2011, avorté pour raisons budgétaires.
Mais parcourons tout cela, du point de vue des trois points mentionnés ci-dessus:
Le cycle de 2016+, qui signifie 2016 avec le glissement qui nous mène en 2018, contrairement aux précédentes compte de nouveaux cycles. Nous aurons donc:
L’avortement du processus de 2011, constitue une violation du point 1 du principe de sécurisation des élections énoncé plus tôt. Les électeurs, dans leur ensemble, ont été privés du droit de choisir leurs représentants provinciaux.
Okay, assez du passé, à présent voyons le futur.
Les critiques de la machine à voter mentionnent le temps requis, pour un non lettré informatique, de réaliser le vote via la machine voter. Le sénateur Jean-Pierre Bemba a annoncé qu’il lui a fallu près de 6 minutes, pour faire son vote (j’imagine qu’il a fait son troll dans le process). Ceci signifie qu’il faudrait 60 heures pour 600 votants par bureau de vote. Ceci considère une machine à voter par bureau de vote.
Son argumentation tient donc dans le fait que le vote en une journée risque de priver les électeurs de ce premier principe. « Le droit de participer à l’élection » serait donc menacé par un élément de temps matériel.
Ceci constitue l’un des arguments qui me « parle » le plus, car représente un réel risque. Mais ce risque peut être circonscrit:
Ma recommandation sur ce point à la CENI serait de le préparer et non d’improviser.
Ce serait en apparence facile à gérer. Les machines à voter se trouvent dans des isoloirs, mais quid des « illétrés informatiques »? se feront-ils assister? et par qui?
Imaginons un instant que ce soit des agents de la CENI, considérés pour un certain camp comme des alliés du pouvoir en place. Alors il y aurait un danger clair sur les déviances liées au secret du vote.
A mon sens, le meilleur moyen de circonscrire ce risque est l’ergonomie et la facilité d’utilisation. Permettre à chaque personne sachant lire et écrire de voter sans assistance.
Personnellement, je n’ai pas testé la machine à voter et ne peut
3G, 3G+, 4G, LTE.
Les opérateurs mobiles en RDC se livrent une concurrence tout azimuth, en lançant de à coup de grands frais marketing, leurs dernières technologies.
Tous les congolais urbains connaissent par cœur ces termes, mais sans rien y comprendre! Pourquoi? La même plainte, malgré la 4G l’Internet n’est pas beaucoup plus rapide. Un autre de dire, la 4G de Vodacom est quand même plus rapide que la 3G.
La technologie 3.5G, que certains viennent de quitter, permet d’aller à du 14Mbps. On nous annonce passer à de la 4G, pour donner à peine 6-7 Mbps.
Honnêtement les gars, la technologie de connexion du client, last mile dans le jargon, est-elle dans notre cas un facteur limitatif de vitesse?
Comme dit l’autre, « Mu atche bongo! »